Résultats de recherche pour "terrasse"

28-03-2023

On est dans un lieu type hangar avec une cour intérieure. Et y a des géants type titans dans snk. Des grands, des moyens, des plus petits. Iels ressemblent a des humain·es mais sont décalé·es, imprévisibles, et peuvent péter un câble d’un coup, pour rien. Genre à un moment y’en a un qui sort du hangar en criant et s’explose tout entier contre un mur, je l’évite de justesse. Après plusieurs micro événements comme ça, je me cache sous une voiture. Et là ! Je vois 2 géantes qui portent C. un peu comme une offrande, et il est tout enfariné de la tête au pied, tout blanc. Mais les géantes le pose délicatement au sol, et il court me rejoindre sous la voiture. Je suis paniqué mais rassuré qu’il soit avec moi, je lui enlève la farine. Puis on déambule dans la ville. On passe par une terrasse de resto, on descend dans les rues qui serpentent, rejoint des gentes puis on va au Comico pour porter plainte. La déambulation est plutôt agréable.

30-04-2021

Je suis dans une école des beaux-arts. Plusieurs personnes se promènent. Il y a un air de fête. Je rencontre Nico et Chloé. On zone avec d’autres personnes. Il y a un garçon métis, il me plaît. Des portes s’ouvrent et se ferment. Je me retrouve dehors, dans une ville de vieilles pierres, avec Lucile. La ville monte et descend. Elle est faite de contreforts, d’arches, de vieilles ruelles en pierres. On déambule. Il y a beaucoup de gens dans les rues. On s’assoit sur un mur de pierre taillé en siège pour regarder la ville. Je me hisse. Puis je me retrouve à la terrasse d’un café avec Nico et Rita. Nico m’annonce que Rita est ma fille. Je suis surprise mais j’accepte. Rita fait la timide. Elle se dandine, ne s’approche pas trop de moi. Puis Chloé arrive. À ce moment, même si il y a eu un doute auparavant, tout est finalement clair : c’est elle la maman de Rita. On va à la mer. Il nous faut descendre un petit chemin très escarpé qui se sépare en sentiers qui accèdent à la mer. On est plusieurs, chacun-e emprunte des chemins différents pour descendre. Je montre un chemin à quelqu’un puis j’en emprunte un autre. Je suis avec Chloé, on arrive en premier au bord de l’eau. L’endroit est magnifique. D’un côté, c’est la mer, turquoise, avec de belles vagues, et de l’autre, l’eau forme une rivière. On se déshabille et on va nager.

19-08-2020

J’entre dans un appartement : moulures, parquets anciens, hauteur sous plafond. Il commence à faire jour, il pleut des cordes. Je me réfugie là. Tout est vide, ni humain ni objet. Je suis seulement éclairée par la lumière naturelle. Je traverse le salon. Derrière les grandes fenêtres, pluie battante. Un grand courant d’air frais et humide m’incommode. Je traverse un couloir sombre, jusqu’à une petite chambre. Le courant d’air glaçant me poursuit. Ou c’est moi. Je m’approche, une petite fenêtre oscillo-battante 30 par 50. Mon regard passe à travers, et je vois un immeuble en vis-à-vis. Nous sommes séparés par une route à double sens. C’est un grand immeuble, ancien, en pierre de taille. Il doit faire 6 étages. Moi, face à lui, je dois être au 4ème. Soudain, je croise le regard d’une personne déguisée en hérisson. Son déguisement est extrêmement bien fait : les jambes en collant beige, la base du corps-animal part des fesses-humaines pour s’arrondir et finir au sommet de la tête du type-silhouette. Le visage du hérisson se mêle au visage du costumé, si bien que je ne peux absolument pas l’identifier. Cette personne est debout, sur le toit-terrasse sans garde-corps de l’immeuble voisin. Là, hérissé, et à peine sorti d’une fenêtre. À l’arrière-plan, on remarque le houppier d’un platane, d’un quartier qui semble être cours d’Albert, à Bordeaux. Le hérisson me regarde, titubant sur 3 pas, fumant sa cigarette. L’atmosphère est celle d’un petit matin. Il rentre d’une soirée bien arrosée. Il a l’air d’aller mal, on dirait qu’il est venu ici faire le point à l’abri des regards. Ou se défenestrer ? Est-il résigné ? Mais là, il trébuche. Son corps bascule contre la façade, il chute, son costume s’accroche à une poutre en fer. Une seconde ça l’agrippe… et le costume craque, le corps poursuit, accéléré, pour s’écraser sur le trottoir, à côté d’une cabine téléphonique. Je le vois au sol, c’est une femme brune, cheveux mi-longs. Elle se relève, regarde en hauteur, dans ma direction, une expression de désespoir, le sang qui coule sur son front. Elle tombe morte dans les bras d’une passante. 

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