Résultats de recherche pour "cour"

28-03-2023

On est dans un lieu type hangar avec une cour intérieure. Et y a des géants type titans dans snk. Des grands, des moyens, des plus petits. Iels ressemblent a des humain·es mais sont décalé·es, imprévisibles, et peuvent péter un câble d’un coup, pour rien. Genre à un moment y’en a un qui sort du hangar en criant et s’explose tout entier contre un mur, je l’évite de justesse. Après plusieurs micro événements comme ça, je me cache sous une voiture. Et là ! Je vois 2 géantes qui portent C. un peu comme une offrande, et il est tout enfariné de la tête au pied, tout blanc. Mais les géantes le pose délicatement au sol, et il court me rejoindre sous la voiture. Je suis paniqué mais rassuré qu’il soit avec moi, je lui enlève la farine. Puis on déambule dans la ville. On passe par une terrasse de resto, on descend dans les rues qui serpentent, rejoint des gentes puis on va au Comico pour porter plainte. La déambulation est plutôt agréable.

14-07-2021

Dans une vaste douche, je suis debout. C’est là que les derniers présidents de la République ont pris leurs douches. Le carrelage est large et vert foncé, la lumière venant du plafond, tamisée. La suite présidentielle est agréable. Dans la première chambre où je me suis éveillé ce matin il y a des piliers et un bureau en bois avec des objet que François Mitterand y avait disposé. Un bureau classique dans une suite moderne. Dessus, des fragments de fleurs en porcelaine, céramique émaillée cassée, celle que l’on met dans les cimetières. Dans cette douche il s’est douché, ainsi que Hollande, Sarkozy, etc. Les lieux sont immuables. Mon père m’attend, je ne suis pas près. Pas très rapide, comme à mon habitude. Je songe à la seconde chambre ayant une fenêtre donnant sur une petite cour intérieure fermée sur elle-même. Cette pièce semble idéale pour faire une sieste. Mitterand ne devait pas pouvoir y résister.

29-04-2021

Je suis dans une soirée organisée dans une friche. Je ne connais pas cet endroit. Je suis ici à titre d’invitée. Il y a beaucoup de personnes, des grands couloirs. Je déambule. Je cherche Pascal du regard. Il est avec son frère, il porte un bermuda hawaïen. Je les retrouve dans plusieurs espaces. Il y a des espaces extérieurs que j’entrevois derrière des grillages, et des espaces intérieurs qui sont surtout de grands halls. Je m’approche de Pascal dans une cour, lui demande de l’attention et on se fâche. Je retourne déambuler en bas. J’arrive dans un espace de toilettes, douches, un peu inondé. De l’eau coule d’une installation de plomberie douteuse et un peu monstrueuse installée au plafond. Je préviens des personnes, qui me répondent qu’on est dans un lieu éphémère, qu’elles ne peuvent rien faire. Je vais vers la sortie et je me rends compte que le chemin est aussi inondé. C’est plus un torrent qu’un chemin. Un groupe se missionne. Il faut ouvrir un portail qui a l’air indéplaçable. On me donne des bonbons dont deux tombent par terre. Quelqu’un les ramasse et me les rends. Lorsque je les ai en main, ils se transforment en guimauve rose. Il nous faut ouvrir ce portail pour dégager un nouveau chemin. On s’y attèle.

26-08-2020

Avec ma sœur, nous sommes dans la cour de notre ancienne maison à Talence, rue Marie. C’est une sorte de long chemin étroit en forme d’éclair. Ma sœur m’entraine vers le portail pour une histoire de poubelle, à sortir ou à rentrer… Arrivées au portail, nous sortons, et devant le rideau du garage voisin, une demi-douzaine d’amis aux visages inconnus sont attroupés comme un chœur de chorale. Ce sont des gens qui me sont chers. Ils sont tout sourire et me chantent une chanson d’anniversaire. Je suis trop contente.

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